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Nuit du 8 juillet (la vie avec le syndrome d’Ehlers-Danlos) 3


Insomnie, quand tu nous tiens!

Je disais y a pas si longtemps que j’allais mieux, que les médicaments aidaient bien ma costochondrite et que je dormais bien grâce aux relaxants musculaires… j’aurais dû me taire!

C’est sûr, avec le syndrome d’Ehlers-Danlos, on peut jamais se fier, jamais prédire. C’était bien de profiter du moment présent… parce que ça n’a pas duré.

Il est 2h du matin, je suis dans le fauteuil inclinable avec de la glace sur la poitrine, après avoir passé 90 minutes à essayer de dormir (et de respirer) dans mon lit.
Je suis étourdie, grâce aux antidouleurs que j’ai pris aujourd’hui et qui sont encore présents dans mon corps, et au relaxant musculaire que j’ai pris il y a environ 3 heures. J’ai même eu des moments de quasi-absences et simili-sommeil, dans mon lit!

Mais la difficulté que j’avais à trouver mon air et la douleur m’empêchent de dormir! Et un restant de l’effet stimulant de mon antidouleur, aussi.
L’engourdissement des bras est revenu, et j’ai une légère nausée à cause de l’effet combiné des médicaments et de la fatigue.

J’ai d’ailleurs eu un épisode de pré-syncope ce soir, après avoir préparé le souper… on aurait cru que j’aurais mieux dormi!

J’espère que l’effet de la glace et le simple fait d’avoir quitté mon lit un peu vont m’aider à me replacer, et me permettre de m’endormir quand je vais me recoucher.

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3 commentaires sur “Nuit du 8 juillet (la vie avec le syndrome d’Ehlers-Danlos)